Warning: Invalid argument supplied for foreach() in /htdocs/wp-content/plugins/mailchimp-subscribe-sm/admin/classes/admin.php on line 536
La Société nationale d’Assurances (Sonas) se porte bien contrairement aux fausses informations répandues par une certaine presse en quête du sensationnel. Cette entreprise n’a pas des problèmes financiers ni de gestion et continue ses prestations normalement. Sa Directrice générale, Carole Agito s’occupe de ses tâches habituelles de même que d’autres membres du staff dirigeant.Des informations faisant état des interférences en matière de gestion sont tout simplement balayées par un membre du Conseil d’administration qui dénonce une campagne de sabotage qui n’a d’autre but que de perturber la paix sociale.
En effet, un journal paraissant irrégulièrement à Kinshasa a fait état des problèmes de gestion et autres au sein de la Sonas. L’auteur de l’article s’est même permis de s’attaquer à la vie privée des dirigeants de la Sonas qu’il accuse de mauvaise gestion sans présenter un seul fait qui atteste ces allégations. « Ainsi, depuis qu’elle est en place, Carole Agito, directrice générale, ne gère pas la société nationale d’assurances comme il se doit, selon les normes de bonne gouvernance. Tout est au point mort. L’outil de travail est devenu obsolète… », lit-on dans cet article. Réaction d’un cadre de la Sonas: « Ce sont des fausses informations montées de toutes pièces et qui ne visent qu’à créer inutilement des tensions sociales au moment où tous les agents et cadres sont concentrés sur l’essentiel».
Et ce journal visiblement mal informé ne s’est pas arrêté là. Il prétend sans gêne que les travailleurs ont « rédigé et publié un mémorandum dans lequel ils exposent la situation qui prévaut au sein de cette société dont le rôle dans la vie de la nation n’est pas à démontrer». Du côté de la Direction générale de la Sonas, l’on dément qu’à ce jour, les travailleurs n’ont rédigé aucun mémo et que cette façon de voir les choses est une pire distraction et l’on invite toutes personnes en quête d’informations à entrer en contact avec le service de communication de l’entreprise.
S’agissant des arriérés de salaire, il importe de signaler que contrairement à ce qui a été écrit dans les colonnes de ce journal, les agents sont régulièrement payés. En témoigne le paiement régulier des indemnisations des sinistrés à travers l’opération hebdomadaire appelée « Jeudi sinistre ».
CP