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Le Directeur général de l’Office de gestion du fret multimodal (Ogefrem), Anatole Kikwa, s’occupe, comme il se doit du bien-être social de ses administrés. Grâce à son management inspiré et une gestion axée sur les résultats, il a hissé cet établissement au rang des entreprises congolaises les plus prospères et ne compte pas s’arrêter là malgré une campagne de diabolisation orchestrée contre lui depuis des mois par des personnes en quête de positionnement.
Alors que leur propre intégrité reste douteuse, ces dernières se sont inscrites dans une logique de diversion et de dilatoire permanent dans des affaires montées de toutes pièces, notamment celle liée à des tensions sociales qu’ils attisent eux-mêmes. Les travailleurs eux, soutiennent sans réserve ses actions et refusent de tomber dans l’amalgame que tentent de semer ses détracteurs. Telle la réponse du berger à la bergère, certains d’entre eux promettent de répliquer désormais coup sur coup à toute attaque qui serait portée contre leur chef.
Ces personnes qui s’illustrent par des allégations diffamatoires utilisent pour ce faire, certains organes de presse mal informés et profitent de leur proximité avec certains hauts dignitaires du pouvoir pour assouvir leurs ambitions hégémoniques. Sur les réseaux sociaux, ils se mettent en vedettes, question d’attirer le plus grand nombre d’internautes. Le comble, c’est que ces personnes qui ont décidé d’en finir par tous les moyens avec Kikwa sont de la même famille que lui(PPRD) mais n’ont visiblement pas intériorisé la vision de l’autorité morale de ce parti, Joseph Kabila.
Dernièrement, ils ont propagé une fausse rumeur faisant état d’une tension qui aurait régné au siège social de l’Ogefrem à l’occasion de la tenue de la dernière assemblée générale des travailleurs le mercredi 14 juin dernier. De la pire intox.
Des informations parvenues à Congo Nouveau et qui ont été confirmées par plusieurs sources indépendantes renseignent cependant qu’il n’y a pas eu de tensions contrairement à ce qui a été propagé dans la toile, mais il s’est agi d’une tentative de manifestation menée par un groupe de jeunes venus de l’extérieur qui ont infiltré les rangs des travailleurs. « Ce sont eux qui ont monté la banderole qui laissait croire qu’il y a des arriérés de salaire. Ils ont été maitrisés par les agents eux-mêmes et le calme est revenu depuis lors », précise un de nos informateurs.
Et pourtant, on apprend que contrairement à la situation de crise économique que traverse la République démocratique du Congo, le problème des arriérés de salaire ne se pose pas tellement dans cet office. « Au moment où certaines entreprises publiques connaissent des mois, voire des années d’arriérés de salaire, nous, nous sommes régulièrement payés. Certes, il nous arrive parfois de recevoir notre salaire avec un retard de quelques jours ou semaines, mais jamais passer tout un mois », reconnait un agent.
UN TRAVAIL BIEN FAIT…
Mais pourquoi alors la succession des informations compromettantes sur certains hauts cadres de cette régie financière ? A cette question, des réponses varient selon les interlocuteurs. Si pour une certaine opinion, c’est le résultat d’une difficile cohabitation entre des gestionnaires formés et un groupe de néophytes qui confondent débats politiques sur de plateaux de télévision et la gestion d’une institution publique, pour d’autres, c’est l’expression d’un malaise de certains nouveaux venus qui espéraient se remplir les poches aussitôt embarqués mais, se sont buttés à la gestion orthodoxe instaurée par le numéro un. En effet, en dépit de tout ce qui se dit sur lui, le Directeur général Anatole Kikwa n’a jamais été convoqué par la justice pour une quelconque affaire de détournement contrairement à certains de ses administrés qui sont poursuivis en justice dans une scabreuse affaire de séquestration sexuelle. Heureusement que le ridicule ne tue pas! « Ce sont les mêmes qui se font passer pour de saints auprès de l’opinion, question de noyer celui qui leur fait ombrage pour aller au bout de la mission qui leur a été confiée par leurs parrains, à savoir: freiner l’élan des réformes engagées depuis des années par l’actuel comité de gestion et créer une tension sociale en vue de faire sauter l’artisan de ces réformes qui n’est autre que le DG Anatole Kikwa », croit savoir un membre du cabinet du Vice-premier ministre en charge de Transports et Voies de communication, l’autorité de tutele. Il faut noter que la paie du mois de mai est terminée dans quelques grands centres qui sont payés par la Raw Bank, TMB et BCDC. Il ne resterait plus que les travailleurs payés dans trois autres banques qui seront payés dans quelques jours. Quant au salaire de juin, il commencera à partir du 28 au 29 de ce mois ; une situation de loin différente à celle que vivaient les agents et cadres de cet office avant l’arrivée de Kikwa à la tête de sa direction générale. « On enregistrait chaque année, entre 3 et 5 mois d’arriérés. Il fallait chaque fois observer de mouvements de grève pour finalement entrer en possession de notre salaire », se rappelle un ancien agent, aujourd’hui retraité.
Contrairement à cette époque, depuis l’avènement de l’actuel directeur général, les mouvements de grève appartiennent au passé. « L’Ogefrem ne connait plus de grève et le DG reçoit de temps en temps des investisseurs pour discuter des voies et moyens de booster la production », ajoute un autre travailleur.
Sur le plan des infrastructures, sous sa gestion, l’office de gestion du fret multimodal s’est doté d’un siège social de 9 niveaux ultramoderne à Kinshasa, d’un bâtiment de trois niveaux à Lubumbashi, de deux niveaux à Matadi et à Bukavu. Le parc automobile s’est lui aussi enrichi et modernisé avec de nouveaux engins de dernière génération.
LES TRAVAILLEURS RESISTENT A LA MANIPULATION
Pendant ce temps, beaucoup de travailleurs ayant compris le danger qui le guette, ont décidé de ne pas céder aux avances de ce groupe de gens mal intentionnés et restent déterminés à suivre fidèlement les orientations de l’équipe dirigeante qui, n’applique pas sa propre vision mais celle de la Révolution de la modernité prônée par le Chef de l’Etat Joseph Kabila.
A ce propos, il est de notoriété publique que Kikwa est un infatigable bâtisseur qui a relevé le défi de la modernisation de cet office au point d’en faire une référence en matière des établissements publics ayant les plus belles infrastructures. N’en déplaise à ses détracteurs qui ne trouvent rien de bon dans des vastes chantiers qu’il a initiés et qui ont inspiré d’autres mandataires publics congolais et africains.
Jean Dende/CP