Une matinée d’échanges s’est tenue le week-end dernier entre les membres de l’ONG Nouvelle Chambre de Métiers (NCM), les membres de la commission de salubrité et d’assainissement de la commune de Kimbanseke et les notables de cette municipalité. Au cours de cette rencontre, il était question de réfléchir sur la mise en place d’un projet de participation collective à l’assainissement à Kimbanseke, visant la participation de toutes les couches sociales dans la lutte contre l’insalubrité.
Pour la réussite de ce projet, les participants ont formulé des recommandations, notamment les spots publicitaires d’assainissement en vue de sensibiliser la population ; l’implication des chefs des quartiers et des rues ; le suivi des entretiens des marchés par les ONG et associations, la présentation du comité de COSA/Kimbanseke à l’ensemble de la population, la création d’une brigade interne d’assainissement ainsi que la création d’un bureau d’étude pour l’élaboration du projet.
Par ailleurs, les membres de la COSA/Kimbanseke ont suggéré, la création d’une structure d’assainissement de la commune pour l’intérêt commun, la modernisation et l’entretien des marchés de Kimbanseke ; l’identification des parcelles et des ménages de la commune.
Le bourgmestre Edouard Gatembo, présent à la cérémonie, a salué l’initiative des associations et des ONG qui œuvrent d’arrache-pied pour l’assainissement et le développement de son entité avec l’appui de la Fondation Hanns Seidel (FHS). Il leur a promis son accompagnement pour la finalisation de ce projet sa mise en œuvre dans les jours à venir.
Il sied de savoir que ladite commission de salubrité avait publié dans un rapport sur la collecte des données dans les 48 quartiers de cette municipalité, que les quartiers de Kimbanseke connaissent des situations presque similaires, notamment plusieurs rivières non curées, le manque des caniveaux, des cités non urbanisées, plusieurs poubelles pirates, des marchés sans bureaux, sans installations sanitaires ainsi que des immondices délaissées. Ce qui explique la nécessité
Grâce E.