INPP: des chiffres qui ridiculisent les pourfendeurs de Maurice Tshikuya

L’Institut national de préparation professionnelle(INPP) continue à assumer avec ferveur, son rôle de locomotive de la formation professionnelle en République démocratique du Congo et de modèle en Afrique dans le domaine de la main-d’œuvre qualifiée grâce à un métronome incontestable : Maurice Tshikuya Kayembe.

Ignorer les prouesses de l’administrateur directeur général de l’INPP serait comme, remettre en question le talent de Lionel Messi dans le monde football. En effet, malgré que tous les faits qui concourent à l’admiration du travail de Maurice Tshikuya dans cet établissement, il y a ceux qui, de mauvaise foi (il n’y a pas d’autres raisons), qui cherchent à saper sa réputation.
Heureusement que devant les faits, tout le monde s’incline. L’INPP fait partie des établissements publics les mieux gérés et contribue à la restauration de la paix sociale. Il est reconnu et apprécié par les partenaires internationaux grâce notamment à une gestion orthodoxe des finances de l’INPP.
Face à ces critiques insensées venant de ceux qui, sans tenir compte de ses réalisations, cherchent à distraire l’opinion, la direction générale de l’INPP laisse les faits et les chiffres parler.
Du 9 décembre 2015 à 7 janvier 2016, l’INPP, conformément aux instructions du Conseil supérieur du portefeuille, a évalué le niveau d’exécution du budget de l’exercice 2014. Au menu de cette évaluation, il y avait la réalisation des objectifs, stratégies et actions retenus en 2014 ;  du niveau d’exécution des budgets d’exploitation, d’investissement et de trésorerie, la comparaison  des réalisations aux prévisions, l’analyse des écarts, des performances  et contreperformances enregistrées en vue de valider les agrégats à renseigner et de formuler des recommandations pour une meilleure exécution des budgets ultérieurs.
La commission composée des experts de la vice-primature de l’Emploi, Travail et Prévoyance Sociale, du Conseil supérieur du portefeuille et de l’INPP a remarqué que l’exploitation de l’exercice budgétaire 2014 a dégagé un résultat positif de l’ordre de 2 876 663 222 francs et la marge brute d’autofinancement ainsi que le financement obtenu des partenaires ont permis à l’INPP de financer son budget d’investissement 2014.
Déterminée à poursuivre le vaste programme de réhabilitation des infrastructures de base de cet institut, la direction générale a focalisé ses efforts dans la construction du bâtiment ultramoderne de la direction provinciale de Kinshasa, inauguré l’année dernière par le Chef de l’Etat. Il y a aussi les travaux de construction des différents bâtiments d’exploitation, la réfection des bâtiments et salles de cours, l’acquisition des terrains dans les entités provinciales et l’acquisition des matériels informatiques et didactiques. Il ressort que les encaissements et les décaissements ont été réalisés respectivement à 97 % et 96% de leurs prévisions respectives.

Initiatives débordantes
Durant les deux dernières années, l’INPP a financé ses investissements avec les ressources propres tirées du Cach-flow et du financement obtenu des partenaires dont l’Agence Japonaise (JICA) et l’Agence française de développement(AFD).
A propos de la formation, les rapports attestent que le nombre des stagiaires formés au cours de l’exercice 2014 est de 34 964 alors que les prévisions étaient de 32 450, soit un taux d’exécution de 101%. De quoi pousser les observateurs à affirmer que Maurice Tshikuya ne tarit pas d’initiatives pour être à la hauteur de ses tâches.
Les objectifs généraux et les actions que s’est assigné cet établissement public ont été atteints, d’après le procès-verbal des travaux d’évaluation du budget pour l’exercice 2014, à 81%. Les objectifs quantitatifs ont été réalisés à 107% par rapport aux prévisions. Quant au budget d’investissement, il a atteint 72% de réalisation et l’appréciation des performances a donné un score de 94, 89%. En définitive, la commission a noté que l’INPP continue à respecter les normes en matière d’élaboration et d’exécution du budget.
« C’est de la peine perdu car, tout le monde est témoin du bon travail qu’abat jours et nuits Maurice Tshikuya depuis sa nomination il y a dix ans. A présent les carottes sont cuites. Le bilan est là et parle à sa place. Ce n’est plus à travers une vaine tapageuse campagne de déstabilisation que les travailleurs vont, comme  par un coup de baguette magique, retirer la confiance placée en lui. Quoi qu’il en soit, l’INPP se porte mieux et son  ADG assume bien ses responsabilités», avoue un cadre de l’INPP.

Congo Nouveau

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