Domaine nucléaire congolais: CGEA : le comité Lukanda combattu

Malgré un travail remarquable fourni au Commissariat général à l’énergie atomique (CGEA), ce comité dirigé par le professeur Vincent Lukanda Mwamba est dans le collimateur du CNPRI, autorité de régulation du nucléaire congolais. Ce qui trouble les esprits.

A travers le monde, le nucléaire demeure un domaine hautement stratégique et précieux en rapport avec les nouvelles technologies. La République démocratique du Congo qui se veut un pays émergent accorde aussi une importance à ce secteur. Le Commissariat général à l’énergie atomique (CGEA) reste la structure qualifiée pour répondre aux attentes du gouvernement congolais dans le cadre du développement socio-économique, dans la lutte contre le trafic illicite des matières nucléaires et qui le représente valablement au niveau international.
Pendant plusieurs années, la réputation de la RD Congo était souillée au niveau de la communauté internationale en rapport avec le nucléaire. Il a fallu l’arrivée aux commandes du comité de gestion actuel, dirigé par le professeur Vincent Lukanda Mwamba pour redorer l’image longtemps ternie de la RD Congo dans ce domaine sensible.
Mais voilà que depuis quelques temps, certaines personnes s’évertuent, par des méthodes et pratiques éhontées, à semer la zizanie pour des raisons inavouées.
Des intrigues, pour nuire, salir et décourager l’équipe dirigeante du CGEA qui ne cesse d’abattre un travail remarquable. Selon les sources concordantes, le CNPRI, autorité de régulation du nucléaire congolais, est cité parmi les structures qui combattent le CGEA et son comité de gestion. « Les limites professionnelles, précisément le manque d’expertise et d’expérience, voulues des dirigeants du CNPRI sont à la base des conflits et malentendus avec le CGEA », a déclaré un cadre du ministère de la Recherche scientifique.
Les mêmes sources ont rapporté également les « égarements » de la délégation syndicale du CNPRI. Cette dernière menace le comité Lukanda tout en promettant de mener, dans les tout prochains jours, des actions pouvant troubler le climat  du travail au CGEA  pour créance. « Le président de la délégation syndicale se fait passer pour un agent recouvreur et cela, avec la bénédiction des autorités du CNPRI », indiquent certains syndicalistes qui désapprouvent cette démarche.
S’agissant des attributions, les textes légaux et réglementaires ont mis fin aux conflits longtemps entretenus pour des raisons inavouées de l’OCC, le CGEA et le CNPRI. En fait, il est actuellement reconnu les efforts très louables de l’actuel comité de gestion du CGEA qui a maintenu la paix social et améliorer les conditions de travail des agents et cadres.

C.N

 

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